Le gospel version Mvula, ça donne une voix à la Amy Winehouse période Frank pour un trip sous hélium et imbibée d'une potion magique à la recette méconnue, nichée au coeur d'un décor de princesses amazones. Un délire maîtrisé où la compositrice de formation se plait à ressortir des instruments bien souvent boudés par la musique contemporaine. Harpe, ensemble de cordes aux influences symphoniques, cuivres fanfaresques, riffs de contrebasse viennent alors redessiner à coup de références azimutées les contours du gospel et de la nu-soul... (Eva Sauphie - Copyright 2014 Music Story)