Résumé
En 2012 sortait le premier album éponyme de Mermonte, groupe dont on ignorait alors tout. Ce fut une radieuse épiphanie. Steve Reich et Sufjan Stevens, Can et Tortoise, Godspeed et Stereolab mettaient leurs angles et leurs rondeurs, leurs largesses orchestrales et leurs songes tordus, leurs caresses organiques et leurs claques électriques au service d'une kraut-pop de rêve, solaire mais tempétueuse. Et la fougue et le sublime du deuxième album, Audiorama en 2014, n'a fait qu'amplifier notre admiration pour les Rennais.