La quête discrète et poétique d'un artiste qui, à partir d'une analyse des plans, lignes et couleurs, module son langage à l'infini et cherche toujours à mettre en évidence les rapports des objets entre eux.
Les deux symphonies sont plus ou moins programmatiques. La Première (1919) est marquée par la Guerre. La Seconde (1930-1931) évoque la légende bretonne de la ville d'Ys. la Suite française (1926), au contraire de l'oeuvre homonyme de Poulenc, prend ses distances par rapport au néo-classicisme du temps. Emmanuel Villaume et son orchestre défendent bien ces pages rares et difficiles (Qobuz)