"Consoler of the lonely" est un disque qui fait illusion, comme parfois avec le prolifique rétro rockeur de Detroit. A coups de riffs tranchants dignes des Who, de vocalises hystériques à la Steve Mariott, de quasiparodies de Led Zeppelin, il déroule une série de titres d'un heavy rock mélodique aux effets spectaculaires (Hugo Cassavetti - Telerama no. 3041)

... Ses textes fantaisistes, un rien corrosifs, et ses ballades mélancoliques entonnées au piano-voix lui permettent de prendre la direction des studios, entre Paris, Bristol et Londres. Par son caractère cosmopolite, par le mariage de la chanson et du rock, l'album tranche dans le paysage musical français. Le jeune homme, inspiré par le verbe de Gainsbourg ou de Bashung, mais aussi par les harmonies de Lou Reed, signe un disque personnel et intimiste. Et ne semble pas prêt à rentrer dans le rang... (www.evene.fr)

Chaque page du livre comporte de petits trous, dans lesquels les jeunes lecteurs peuvent glisser leurs doigts et s'amuser à devenir le petit ver qui ronge les fruits et les légumes.