Résumé
Mémoires de la chair, récompensé par le prestigieux prix Naguib Mahfouz et le Prix Nour de la meilleure oeuvre féminine en langue arabe, est, plus qu'un roman, un hymne à une ville perdue. Constantine, Ksantina, Cirta, la Cité des Ponts, le Rocher... autant de noms qui chantent la cité adulée et blessée, symbole d'une Algérie meurtrie par des années de guerre et le tragique échec des idéaux révolutionnaires de l'indépendance. Khaled, l'ancien moudjahid, a choisi l'exil.