Les chansons prennent des chemins inattendus, à dos de rivière et claquant au vent, les voici qui saluent le grand large. L'avalaison ne leur suffira pas, il leur faudra remonter de Loire en Allier, nichées au creux des voiles claires et retrouver enfin les riaux du Bourbonnais. Ici, le souffle vif de la galerne pousse effrontément les bateaux à braver le courant. Lorsque le calme sera de retour, les voix pourront s'apaiser et chanter sereinement les quais de pierres blanches et les îles sous le vent...de galarne ! - (Frédéric Paris).