Après Je ne suis pas seul à être seul, un récit sur l'impatience, les plaisirs et les informations instantanés. L'auteur explore sa propre fébrilité dans l'attente d'une lettre, d'un coup de téléphone ou un rendez-vous. Un questionnement sur l'intérêt du temps gagné grâce aux avancées technologiques et sur la patience qui mène à la fois à la tranquillité et au fatalisme.