Le titre choisi par Yuja Wang pour son nouvel album reflète l'idée bouddhiste selon laquelle la vie est un perpétuel changement. Elle en trouve la justification musicale dans Brahms avec Variations sur un Thème de Paganini op. 35, qui transforme son thème vingt-sept fois. Dans Ravel qui transforme La Valse en la mettant à l'épreuve au point de l'oublier, et dans Stravinsky avec les Trois Mouvements de Petrouchka, dont la marionnette est provisoirement transformée en un être humain avant de redevenir une marionnette - selon Yuja Wang, un ''monde entre création et destruction'' (CD MAIL)