Avis
Premier tome d’une trilogie, « Le Dernier Atlas » est une uchronie où la guerre d'Algérie est décalée 15 ans plus tard.
De nos jours dans cette France parallèle un petit gangster nantais va être amené à réanimer un gigantesque robot, le « George Sand », dernier des Atlas qui effectuaient les travaux lourds dans le bâtiment et la construction navale. Ce géant du passé, témoin d’une France conquérante et bâtisseuse, finissait ces jours dans la rouille d’une décharge indienne.
Au même moment un cataclysme naturel se profile en plein milieu de l’Algérie, dans le parc du Tassili…
Un excellent roman populaire, au croisement du polar, de la science-fiction et du drame politico-historique, conçu par des bédéistes qui savent construire un récit.