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Down in the weeds, where the world once was
Bright eyes Groupe vocal et instrumental
Édition :
Année :
2020
1 disque compact : DDD
Contient :
Pageturners rag
Dance and sing
Just once in the world
Mariana touch
One and bone
Pan and broom
Stairwell song
Persona non grata
Tilt-a-whirl
Hot-car in the sun
Forced convalescence
To death's heart (in three parts)
Calais to dover
Comet song
Le dixième disque de Bright Eyes est un sacré retour en forme de la part d’un des groupes indie rock les plus influents de ces vingt-cinq dernières années. Conor Oberst et sa bande jettent un regard détaché sur leur passé afin d’aller de l’avant et le font avec une grâce touchante et une versatilité musicale des plus audacieuses. Avec l’aide des arrangements de haute volée signés Mike Mogis, Conor Oberst ira affronter ses vieux démons avec son interprétation toujours aussi fébrile allant au cœur de son divorce sur la triste ballade au piano qu’est « Hot Car In The Sun » (« I was dreaming of my ex-wife face », chante-t-il plaintivement) et les allures folk-rock de « Tilt-A-Whirl » où il parle enfin de la mort brutale de son frère. Bien entendu, Bright Eyes nous offre un ascenseur émotionnel en musique tout au long de ce Down In The Weeds, Where The World Once Was avec les remuants « One and Done » et « Forced Convalescence » ainsi que les allures plus mélodramatiques avec « Stairwell Song » et « To Death’s Heart (In Three Parts) » relatant les attentats de Paris en 2015.