Toujours en quête de scoops et de scandales, Gabrielle Lange se souvient d'avoir incarné, il n'y a pas si longtemps, une jeune femme conforme à l'image idéale d'une professionnelle des médias : une de ces jolies poupées de luxe vantées par la pub, continuellement en action et terrifiante pour qui ose se dresser en travers de sa route. Mais avant de " dérailler ", les patients du Dr. Eon n'appartenaient-ils pas aussi à l'élite ? Leur ligne de vie n'était-elle pas celle de Gabrielle : " c'est le plus fort qui l'emporte et pas de pitié pour les canards boiteux " ?