Premier album chez Sony Classical du pianiste-compositeur français, sans conteste le modèle actuel en matière de polyvalence musicale, avec une parfaite maîtrise de la traversée des genres. Son art se nourrit notamment de ses deux cultures profondes, le jazz et le classique. Il y enregistre en première mondiale son premier concerto pour piano et orchestre avec l'ensemble Appassionato, dirigé par Mathieu Herzog. C'est une oeuvre à thèmes en trois mouvements qui captive et hypnotise, une oeuvre classique mais dans un style jazz, très écrite mais avec des passages improvisés, une oeuvre profondément cinématique sur fond d'une subtile alchimie entre classique, jazz et musique contemporaine. L'album est complété de sept pièces pour piano solo, que Thomas Enhco positionne entre la nouvelle musique dite néoromantique et la ballade jazz, mais avec une tenue et une exigence remarquable.