Hommage à l'âge d'or du latin jazz des années 1950. Un joli voyage entre réminiscences et corpus ancien revivifié. On y entend du Stravinsky version latino, des standards, mais aussi des oeuvres de Bud Powell ou Cole Porter. A la fois des envolées hollywoodiennes sirupeuses et une évocation pointue de joyaux nés du télescopage entre des as de la percussion, Chano Pozo ou Tito Puente, et des géants nommés Charlie Parker ou Dizzy Gillespie... (Eliane Azoulay - Telerama no. 3208 - 09 juillet 2011)