S'adressant à sa fille anorexique, G. Joffo raconte sa propre expérience de cette maladie, remontant aux années 1960 et 1970, entre guerre d'Algérie et Mai 68. Elle décrit ainsi les mécanismes qui l'ont conduit au désastre psychologique et au délabrement physique. Elle témoigne de son sentiment de solitude et d'incompréhension ainsi que des moyens qui lui ont permis de combattre ce mal.