Veuillez vous connecter pour réserver
Display2
Anime amanti
Mameli, Roberta Chanteur
Caccini, Giulio (1551-1618) Compositeur, comp.
Monteverdi, Claudio (1567-1643) Compositeur, comp.
Strozzi, Barbara (1619-1664?) Compositeur, comp.
Falconieri, Andrea (1585?-1656) Compositeur, comp.
D'India, Sigismondo (1583?-1629?) Compositeur, comp.
Merula, Tarquinio (1594?-1665) Compositeur, comp.
Raimondo Pietro Paolo Compositeur, comp.
Mameli, Roberta Chanteur, S
Pianca , Luca (1958-....) Musicien
Pianca, Luca (1958-....) Musicien, luth
Falconieri , Andrea (1585?-1656) Compositeur
Monteverdi, Claudio (1567-1643) Compositeur
D'India, Sigismondo (1583?-1629?) Compositeur
Strozzi, Barbara (1619-1664?) Compositeur
Merula, Tarquinio (1594?-1665) Compositeur
Raimondo , Pietro Paolo Compositeur
Caccini, Giulio (1551-1618) Compositeur
Édition :
Année :
2017
1 disque compact (69 min)
Contient :
Dovro dunque morire (Le nuove musiche)
Lamento di Didone
Ricercata
Folle è ben che si crede
Dolcissimo sospiro (Le nuove musiche)
La bella man vi stringo (Nuove musiche e nuova maniera di scriverle)
Ma che ? Squallido e oscuro (Primo libro di musiche da cantar solo)
Corrente
Belle rose porporine (Le nuove musiche)
Voi ch'ascoltate in rime sparse
Vorrei baciarti, o filli
Ecco di dolci raggi il sol armato, SV.249 (Scherzi musicali cioé arie et madrigali)
Ohimè ch'io cado, SV.316
Allemanda la villega
La soave melodia
Toccata (Improvisation)
L' eraclito amoroso (Cantate, ariette, e duetti, op. 2)
Amarilli, mi abella (Le nuove musiche)
Addio, Roma ! (L'incoronazione di Poppea, SV.308)
Il lamento di Arianna, SV.22
Une voix, un luth, un soupir. Rien de plus simple et de plus immémorial. Cette expression du sentiment et des émotions, des intermittences du coeur et des ombres de l'âme est naturellement aussi vieille que le monde. Pourtant, elle fut bien une reconquête de la Renaissance. Avec Caccini, la nouvelle musique trouve d'emblée un mélodiste miraculeux. Il compose une Euridice, jouée en 1602, deux ans après celle de Jacopo Peri et cinq ans avant l'Orfeo de Monteverdi. La Renaissance n'a pas connu l'opéra, mais elle l'a longuement secrété. C'est lui qui, flambant neuf, ouvre et clôt cet enregistrement par la voix de son premier visionnaire, Claudio Monteverdi. Dans son Lamento d'Arianna, pièce centrale d'un ouvrage perdu, douleur, regrets, révolte, sont exprimés par la musique même de la langue italienne, portée ici à l'incandescence. Cette musique nouvelle se répand dans toute l'Italie : Merula à Crémone, Falconieri à Naples, Barbara Strozzi à Venise, la plus célèbre compositrice de l'époque.