"Voilà un véritable ovni télévisuel : on craint une rêverie un peu mièvre aux pays des chats et on se retrouve dans un véritable conte philosophique sur les méfaits de la mondialisation libérale. La réalisatrice nous emmène ainsi par le biais de séances animées et de deux chats imaginaires vers une succession de reportages en images réelles, bien loin de toute rêverie romantique. Du Japon aux Etats-Unis, de la question de la surveillance généralisée à la défense des services publics, de superbes dessins nous accompagnent..." (Sophie Lherm, Télérama, 11 avril 2009).